Résumé du livre : «Le Diable au corps, chef-d'oeuvre de promesses et les promesses tenues : Le Bal du comte d'Orgel», disait Cocteau, et Gide dans son Journal écrit : «Après Le Grand Meaulnes, lu Le Bal du comte d'Orgel que je ne connaissais pas davantage. Extraordinaire pureté de ce livre - presque excessive. Cela tient de la gageure et de l'acrobatie. La réussite est à peu près parfaite. Bien supérieur au Grand Meaulnes... Une irressaisissable fraîcheur.» Le Bal parut en 1923, l'année de la mort de Radiguet : il avait vingt ans.