Résumé du livre : «Dans La Princesse et le braconnier et dans La Princesse Mammalia, dans le premier plus encore peut-être que dans le second, Roald Dahl adopte de propos délibéré une langue plaisamment surannée, parfaitement en harmonie avec la période évoquée, celle des rois et des princesses, des nobles seigneurs, des gentilshommes, des courtisans, des dames de la cour... De ces jongleries verbales auxquelles il s'amuse, délicieuses et singulières, de ce brillant exercice de style (an exercise in diversity of style, écrit-il au sujet de Two Fables), l'auteur tire des effets irrésistibles, pleins d'une ironie féroce, fustigeant par le biais de ce monde purement imaginaire (parfois jusqu'au délire, proche du nonsense anglais) le pouvoir exercé par l'homme dans l'ordre politique et sexuel.» Henri Yvinec.