Résumé du livre : « Le sens raccommode toutes ces choses... Et par hasard, je rencontre un bruissement qui me rappelle une femme portant derrière elle un ciel second. » Une langue première (l'arabe) en vis-à-vis d'une langue seconde (la traduction) et du geste du peintre. Mais un vis-à-vis, comme lieu de traversée : le signe de la peinture donne un nouveau sens aux mots du poème, à leurs mouvements tantôt mélodieux et lyriques, tantôt dans la tension et la rupture, comme ces pépiements qui peuplent la tête et la mémoire.