Résumé du livre : Écrit dans le sillage du Passant du bout du monde (Phébus, 2000), qui avait surpris la critique par sa verdeur intacte, par sa jeunesse déraisonnable, Les Naufrages peut se lire comme le chant d'adieu d'un homme qui s'est toujours ingénié à conformer sa vie - et son oeuvre aux grands rêves de son enfance. Une leçon de fidélité et de fraternité, qui rappelle à certains égards les ouvrages de Sepúlveda. Et une nouvelle invite à prendre le large, à travers les récits de ces naufrages tout au long des côtes chiliennes, toujours aussi belles et farouches.