Résumé du livre : «Scott Fitzgerald ne pouvait pas écrire sans y mettre toute son histoire. Dès ses débuts, dès qu'il réussit à placer quelques nouvelles dans les magazines, il pense que désormais sa vie, ses souvenirs, ses passions, ses malheurs et ceux de ses proches doivent servir son oeuvre. Il disait : On doit vendre son coeur. [...] La légèreté et la fantaisie de Vivre avec trente-six mille dollars par an et de Vivre avec presque rien, l'ironie désabusée de L'après-midi d'un écrivain, rendent ces textes difficils à classer : ce ne sont pas tout à fait des nouvelles, et pas tout à fait de vrais récits autobiographiques. Mais, en ce qui concerne La fêlure, il n'y a pas de doute. Il s'agit d'une des confessions les plus poignantes de toute la littérature.» Roger Grenier.