Résumé du livre : « Enfin le poète retrouve le secret du vieux mot religieux qui est l'alliance, l'impossible alliance. La lumière d'une terre éternelle s'annonce à travers le filtre des herbes, des forêts, et à la faveur de certains signes. Or ces signes ne sont plus seulement des mots ou des paroles magiques, mais le corps de la terre, de l'arbre et le corps de l'homme. Ils s'affirment matériellement par la voix (une voix), par le sang, par toute forme naturelle ou humaine et ils s'affirment comme une promesse d'autant plus vive qu'elle est sacrifiée en cette terre et en ce sang. » André Dhôtel.