Résumé du livre : Le peintre dit que des signes sont posés,Et des couleurs, pour relier ce qui se défait.Pour que tout ne tombe pasMais le paysage se dilue quand mêmEn fragile tracé d'encre et maintenantdans mon poème qui pourrait prononceLe mot « Maroc »Et d'autres noms pour dire, des motQui tombent dans le silenceLes peintures sur papier de Guy Calamusa (formes, taches et traits, figures) m'ont donné des mots. Quand le peintre reprend ces mots dans l'écriture de ses dessins, tout se défait à nouveau semble-t-il (paysage broussaillé du Maroc ou de n'importe où) pour encore dire du vivant... geste qui fait signe, tremblement des mots dans le dessin (ou l'inverse)J. S.