Résumé du livre : Puis subitement la tête mutilée contemple le sol/Et l'hélianthe meurt,/Et le cristal des sanglots neufs s'égrène.Ne passe pas sous l'arbre :/ Il pleure une douceur/Trop lourde à supporter ! Ces vers, aux accents prémonitoires, sont ceux d'un poète fusillé par les nazis, un matin de juin 1944, à l'ombre d'un mûrier, dans le maquis du Luberon.Ce poète se nommait Roger Bernard