Résumé du livre : Dire que la pensée des primitifs est peu conceptuelle équivaut, en fait, à dire qu'elle n'est pas attachée à l'inviolabilité des lois des phénomènes ni à la permanence et constance des formes des organismes, ou, en d'autres termes, n'est jamais gênée par ce que nous appellerions les miracles ou des ruptures de l'ordre de la nature.