Résumé du livre : « En somme j'étais beaucoup moins bien nourrie que chez les B. Cela ne me gênait pas tellement. Ce qui m'ennuyait, c'était que les patrons ne nous disaient pas bonjour, et ne nous donnaient pas les journaux. » Voici les souvenirs de Madeleine Lamouille : les temps de l'enfance, la faim au ventre, dans les années 1900, puis l'adolescence dans une « manufacture-internat »