Résumé du livre : Comment utilisons-nous notre corps pour matérialiser des désirs refoulés ? Est-il possible de faire parler un organe, un animal, un vestige paléontologique ? Peut-on psychanalyser les faits biologiques ? De «Thalassa» (1924), Freud disait que c'était l'oeuvre la plus brillante et la plus profonde de la pensée de Ferenczi. On y trouve la plus hardie, peut-être, des applications de la psychanalyse qui ait jamais été tentée. Ferenczi tente ici ce que Freud n'eût jamais osé entreprendre : l'intégration de la biologie à la psychanalyse.Traduit de l'allemand par Judith Dupont et Myriam Viliker.