Résumé du livre : Les gens ne sont guère descriptibles, saisissables, que par le manteau des mots dont ils s'enveloppent, et qui est fait de la même étoffe que le nôtre. Appelons la conscience - l'être profond - Joseph.Putiphar (sa conscience, la mienne, la vôtre) peut le tâter, à travers le manteau, jusqu'à s'emplir de perceptions imaginaires, et bousiller le manteau : Joseph a disparu dans le tissu des motsPutiphar soupire qu'elle l'a aimé, et que tous les hommes sont ainsi