Résumé du livre : C’est l’art et la littérature qui nous laissent imaginer l’humanité chez autrui et nous aident à la trouver en nous-mêmes. John Hubbard Wilson, professeur de littérature, l’a toujours dit à ses étudiants dans son cours sur l’œuvre de William Shakespeare : «Nous allons tous mourir. C’est ce qui se passe pendant que nous vivons qui doit compter – ce que nous apprenons, ce que nous savons, ce que nous finissons par comprendre avant de disparaître.» Au crépuscule de sa vie, John, atteint de la maladie d’Alzheimer qui grignote peu à peu sa mémoire, renoue avec sa fille, Miranda. Leur relation gâchée rencontre alors une ultime chance d’être réparée.
Un magnifique roman sur ce qui nous lie à ceux qu’on aime, sur le sens qu’on donne à sa vie. Et un hommage à la littérature qui accompagne l’existence, tel un soutien indéfectible