Résumé du livre : J'ai pu voir la flèche enflammée du jeune Cupidon S'éteindre dans les chastes rayons de la lune humide : Et l'impériale prêtresse continua, Dans sa méditation virginale, libre de tout désir. Pourtant j'ai remarqué où est tombé le trait de Gupidon. Il est tombé sur une petite fleur d'Occident, Auparavant, d'un blanc de lait ; désormais empourprée par la blessure de l'amour, Et les vierges l'appellent «pensée d'amour». Va me chercher cette fleur : je t'en ai montré une fois la plante. Son suc, déposé sur des paupières endormies, Rendra tout homme ou toute femme follement idolâtre De la première créature vivante qu'il verra. (Acte II, scène I)