Résumé du livre : À l'origine le sphynx était la sphinge. Mais le sphynx égyptien se substitue à la sphinge grecque, au féminin. Lui donc qui pose le mystère devient ici la sphinge qui est son propre mystère. Ici elle a la bouche malade.La parole toujours est à naître d'un mystère à élucider. Le code qui permettra de poser ce mystère n'est pas dans la langue maîtresse, mais dans une parole à inventer de la pratique de la vie. La sphinge est hantée d'une parole, d'un féminin d'avant, en lien avec le monde, avec la nature, avec son masculin en creux. en lien avec ce qui la nourrit. Ce poème est la chair de cette hantise.