Résumé du livre : «On oublie toujours trop d'instants, trop d'heures et de jours et de mois et d'années, et la cicatrice d'une cuisse qu'on a longtemps vue et embrassée quotidiennement pendant le temps connu et perdu. On oublie des années entières, et pas nécessairement les plus insignifiantes.» Après la publication de son Roman d'Oxford, Javier Marias nous livre une brillante réflexion sur la postérité.